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En avant les explorateurs

8 février 2017

Balboa 2

 

15 septembre 1504

Enfin, c'est le grand jour, je vais partir à l'aventure chercher ce fabuleux métal! Je suis tellement excité! Mon équipage, lui, semble nerveux, mais on ne va pas se laisser faire par cette peur qui nous hante, pardi! Tout est près, il ne reste plus qu'à monter dans ce bateau: moi, Vasco Nunez de Balboa, je vais découvrir une matière que nul autre (européen) n'aura découvert avant moi! Je suis si fier! Mais le bateau va lever l'ancre, il est temps que je parte! En route vers l'aventure!

 

26 août 1517

Je m'endors dans mon lit, au chaud. Je pleins mes compagnons qui doivent dormir sur le pont, lieu qui est inconfortable! Je comprends qu'il m'envient ainsi; mais je ne dois pas me laisser avoir, tout le monde n'a pas cette chance de pouvoir dormir dans un vrai lit et avec des bibliothèques pour ce divertir… Eux doivent dormir par terre avec les poux, les rats, les puces... Je sens déjà la tempête qui peut arriver d'un moment à l'autre. Je sens aussi le scorbut qui me gagne lentement; arriverais-je au moins à rejoindre ma bien-aimée? je n'en suis pas si sûr, avec cette chienne de maladie je serais mort avant d'avoir revue la terre ferme. Nous manquons de nourriture et celle qui reste croupie; l'eau est imbuvable après ce long voyage. La peur règne en maître en chacun de nous, mais il faut garder espoir pur nous et pour les autres! Je crois que je vais faire mes adieux car demain je ne me réveillerai peut-être pas.

 

29 septembre 1513

Nous voici enfin arrivés! Je prends le temps de regarde le nouveau monde, quand soudain mon regard est happé par un fruit perché en haut d'un arbre, caché derrière les grandes feuilles du palmiers. C'est alors que le fruit tombe: il est rond avec une coquille marron et poilue, ses trois cercles sur le dessus me font penser à une tête de mort: c'est le fruit le plus étrange que je n'ai jamais vue. J'essaye de l'ouvrir lais le fruit est dur comme une pierre! Quand je réussis enfin à briser la coque sur moi coule un liquide blanc; l'odeur est bien meilleure que la pomme de chez nous!

 

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8 février 2017

Vasco de Gama 2

 

JOUR 1 : 28 FEVRIER 1492

 

Ce matin, nous partons à la découverte d'une nouvelle terre avec les hommes. Nous avions rempli les réserves de nourriture, les vêtements et les armes… Nous avons tout préparer pour ce voyage et nous partons pour cette fameuse nouvelle terre.

 

 

JOUR 18 : 16 mars 1492

 

Ce matin, je me réveillai sous une tempête ! La moitié du voyage a été atroce je dormais par terre et souvent sous la pluie, les tempêtes nous empêchent de dormir, quelque hommes sont morts depuis le début à cause du scorbut. Nous nous languissons d'arriver !

 

 

JOUR 39 : 5 Avril 1492

 

Aujourd'hui nous avons aperçu la terre, nous sommes vraiment contents d’être arrivés. Ce pays est extrêmement magnifique, il y a plein d'animaux que je ne connaissais pas, des fruits que je ne connaissais pas non plus mais qui étaient très bons. Les indigènes étaient très gentils serviables et très généreux.

 

 

Interview :

-Bonjour messire.

-Bonjour vous allez bien, comment s'est passé votre voyage ?

-Le voyage s'est assez bien passé excepté les tempêtes et le froid.

-Pourquoi êtes vous parti en l'Inde ?

-Je suis parti en Inde pour chercher des épices et trouver un passage sans payer les péages.

 

 

8 février 2017

Vasco de Gama

Journal de bord de Vasco de Gama

 

8 juillet 1497

Il y a quelques jours de ça le roi Manuel 1er m'a confié comme mission de partir à Calicut en inde, pour le venger de la découverte de l'Amérique. Cela me fait un peu peur, mais aujourd'hui je suis décidé à partir pour lors !

 

8 octobre 1497

Cela fait trois mois que nous sommes partis et tout ce passe comme prévu.

Sur le bateau il y a :

Francisco au grand mât pour faire le guet, Pablo est chargé de la voile triangulaire, au château arrière il y a Tonio, Tomas, Leon, et moi, et au château avant il y a Antonio, José, Alvaro, Hugo et Carmeno.

 

25 décembre 1497

Aujourd'hui nous nous sommes arrêtés sur l'île de St-Hélène au milieu de l'Atlantique, pour nous reposer un peu.

 

20 mai 1498

C'est bon nous sommes arrivés à Calicut en Inde, et nous avons été surpris de tomber sur des Espagnols et des Italiens, il nous ont demandé ce que l'on cherchait et on a dit « des chrétiens et des épices ».

C'est ici que mon journal se termine. Ce fut une expérience très enrichissante, surtout à mon âge (29 ans).

 

 

Vasco de Gama

8 février 2017

Magellan 2

Fernand de Magellan:

 

 

 

Texte 1:

 

Salutation:

Lundi 1 Janvier 1519

Je me nomme Fernand de Magellan,je suis né aux environs de 1480 au Portugal. Mon premier voyage fut en 1519,mon navire était près à embarquer. Je monte en tant que capitaine pour revendiquer <<Les îles aux épices>>. Mais nous arrivons dans la circumanavigation à Rio de la Plata en 1520.En traversant je découvre le Pacifique dans la direction N.O, je découvre une terre inconnue (de nos jours les Philippines).

 

Texte 2:

Vendredi 21 Janvier 1519

Rien à dire,l'équipage est joyeux, mais ce n'est pas le luxe de dormir sur le pont du bateau. Il y a eu déjà quelques disputes et bagarres, mais rien de grave.Nous souffrons tous du mal de dos. Il y a eu déjà dix morts à cause du scorbut, nous avons peur de mourir à cause de cette maladie.On pense être bientôt arrivés, nous avons vu des poissons magnifiques de toutes les couleurs: rose,bleu,vert ….).Nous voyons très peu les côtes, on n'est plus que vingt six hommes et cinq enfants.Nous avons de plus en plus peur et de l'appréhension.Nous sommes bientôt arrivés, l'équipage est très soulagé.On voit les palmiers. Nous sommes heureux.

 

 

Texte 3:

Mercredi 1 Mars 1520

Nous avons trouvé des fruits comme: la banane, la noix de coco, la papaye…,et des animaux: des singes tout bruns avec des grands bras, des poissons multicolores. Les indigènes nous ont accueilli avec gentillesse, ils nous ont donné le même fruit que nous avions déjà rencontré.Ce fruit que nous avions goûté nous a provoqué des douleurs désagréables au ventre.Nous restons avec eux un an.

 

 

Interview:

 

(journaliste): Comment se passe votre voyage?

 

(Magellan): Très mal j'ai perdu beaucoup d'amis.

 

(journaliste): Est ce que votre femme est partie avec vous si non comment vos enfants et elle ont vécu votre départ?

 

(Magellan): Non elle n'est pas partie avec moi mais ils l'ont assez bien vécu car ils savent que je ramène de l'argent mais il y a eu aussi de la tristesse.

 

( journaliste): Avez vous vu d'autres animaux et fruits ?

 

(Magellan): Oui! J'ai vu des poissons multicolores, des singes avec de grands bras et des fruits: des ananas, des noix de coco...)

 

(journaliste) : comment avez-vous survécu ?

 

(Magellan) Moi en tant que capitaine, je plongeais et pêchais avec un bâton beaucoup de poissons.

(journaliste) Et l'eau, comment vous la procuriez-vous ?

(Magellan) Nous buvions le lait de nos chèvres

(journaliste) Avez-vous découvert autre chose ?

(Magellan) Oui ! Une île avec des indigènes très généreux. Nous devions faire attention à eux.

(journaliste) Et pourquoi ?

(Magellan) Ils savaient pêcher, chasser...

(journaliste) Je comprends ! Et où dormiez-vous ?

(Magellan) Nous dormions dans des campements, dans leur île.

(journaliste) Oui mais comment partagiez-vous la nourriture ?

(Magellan) Les indigènes et nous partagions la nourriture.

(journaliste) Ah ! Voilà alors ! Merci pour ces informations et je vous dis bonne journée, monsieur Magellan.

(journaliste) Bonne journée à vous aussi et merci !

8 février 2017

Pizzaro

1523. Je suis en pleine mer cela fait au moins 3 mois que je navigue . Je suis né en 1475. Je m' appelle Pizzaro et je pars car je veux un empire rien qu'a moi donc, j'ai dû partir et j'ai 48 ans.

 

Il n'y a plus que 45 hommes sur le bateau. Des rats ont dévoré des cordes et il n'en reste plus beaucoup. Le soleil se couche, mes hommes vont dormir par terre sur le bois fin du bateau. Mon second, Gustave, prend ma place. Je commence à dormir quand j'entends un orage. Je dois prévenir tous mes hommes qu'une tempête arrive. Je prends la barre. On doit baisser les voiles. Je dois garder la barre pour qu'on ne dérive pas. Des vagues comme trois maisons s'abattent sur le vaisseau. La tempête cesse. Je me situe sur la carte grâce à l’astrolabe et la boussole pour voir la position du bateau. Le lendemain à midi j'entends crier qu'il y a un continent en vue. Des compagnons sautent de joie. Je prends des armes et je pars explorer de nouvelles terres avec mes compagnons. Trois jours plus tard je vois un fruit. Il me fait peur quand je le regarde. Il a trois trous et son jus est aussi délicieux que le jus de la pomme. Je prends de nouveaux fruits et je repars. Le lendemain j'arrive dans un village peuplé d'indigène nus . On s'échange des objets.Quand je découvre cette richesse je n 'hésite pas à décimer tous les indigène qui s ' appelaient les Incas. Cher journal vous avez lu mes exploits . Je ne vous ai pas encore dit la fin de mon histoire: je vais vous la raconter. Mes hommes sont contents de leurs richesses. Mais je distribue mal les richesses. Je termine mon expédition en 1541. Je crois que je vais avoir un malheur. Je vous quitte , adieu.

 

INTERVIEW

-Alors messire Gustave comment s'est passé votre voyage à bord du bâteau ?

-Le voyage a été très dur. Non seulement à cause des tempêtes et des maladies, mais aussi à cause des combats qu'on a faits contre les Incas.

-Qu'est-ce que les Incas ?

-Pizzaro a nommé comme ça les indigènes.

-Où est donc monsieur Pizzaro, je ne le vois pas ?

-Je l'ai trouvé un matin mort près de son lit, avec un couteau planté dans son crâne, et du sang sortait de sa bouche et ses yeux étaient sortis de leurs orbites. Il avait un journal près de lui avec dedans marqués ses exploits. Inutile de préciser.

-Je comprends. Mais comment s'est passée la route du retour ?

-Le voyage du retour s'est très bien passé. La mer a été calme et il y a eu un seul mort.

-Un seul !

-Oui, un seul.

-Bon, je dois questionner d'autres membres de l'équipage. AU revoir !

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8 février 2017

Peary

Ici le capitaine Peary. Je suis en pleine traversée de l’Océan Atlantique.On est en train de jeter Michel atteint du scorbut ,Ruffy se sent pas bien car il y a Michel dans l'eau, mort.Mes matelots et moi avons peur des griffons et des licornes.Quoi c'est déjà l'heure d'aller se coucher !

 

Ici Peary ,mes compagnons et moi en avons assez, cela fait une quinzaine de jours qu'on est partis, il reste environ 30 matelots. Ruffy mon second se sent mieux ; nous sommes impatients d'arriver !

 

Nous sommes enfin arrivés ! Ici il y a un nouveau peuple, de nouveaux animaux, et des fruits et légumes nouveaux. Aujourd’hui je n'écris pas beaucoup car je profite de ma découverte ; ici il fait froid.

 

INTERVIEW

 

- Bonjour Peary comment allez-vous ?

- Bien et vous ?

- Bien qu'avez vous découvert.

- Des manchots,des phoques et des ours polaires ...

- Je suis heureux de votre découverte.

- Moi aussi.

- Pouvez-vous nous raconter votre histoire ?

- A mon avis vous connaissez déjà tout de moi mais je vais vous dire que je suis passé par l Océan Atlantique pour aller à ma destination finale.

 

8 février 2017

Magellan

Magellan

 

Ce matin là, le 10 aout 1519, je suis prêt ainsi que mes 241 hommes a quitter Seville, une ville d'Espagne, et à découvrir le monde.J'ai comme projet de rejoindre par l'ouest, l'île aux épices située aux philippines. Nous partons à bord de notre navire en bois.

 

 

Le 25 avril 1521, ce matin là, à l'aube nous avons mal dormi. Des étranges bruits nous dérangeaient et la mer était déchaînée. Cette nuit nous avons encore perdu beaucoup d'hommes à cause du scorbut. Les conditions deviennent de plus en plus difficiles. Le navire est donc plus compliqué à manier à cause du manque d'hommes. Mais on aperçoit au loin, la terre. Le sable glisse sous le navire, alors nous descendons tout de suite pour aller découvrir l'île. Sur cette île déserte nous apercevons de la fumée jaillir entre deux grandes montagnes.On comprend alors que nous ne sommes pas seuls .

 

 

Je suis Alfred, un ami de Magellan, nous sommes rentrés de l'expédition et nous n'étions plus que 18 hommes à avoir survécu.

Nous avons fait des guerres et rencontré de nouvelles choses, comme le gingembre, la cannelle et pleins d'autres encore.

 

 

 

-Bonjour mon nom est Alfred .

-Bonjour, puis je vous poser quelques questions a propos de votre voyage ?

-Oui, bien sûr, allez-y.

-Qu'est-il arrivé à Magellan ?

-Ah, Magellan. Nous sommes arrivés sur une île et nous avons vu de la fumée. Quelques hommes sont allés voir. C'était des indigènes qui n'étaient pas très loin de nous, sur une autre île. Magellan et plein d'autres ne sont pas revenus. S'agissait-il peut-être de cannibales ?

-Quel dommage ! Et vous, qu'avez-vous trouvé là-bas ?

-Ouh là là, plein de choses...Mais nous étions tombés sur une île riche en fruits, légumes, etc, ça nous a donc permis de nous ressourcer.

-Tant mieux ! Et pourquoi êtes-vous rentré avec 18 hommes ?

-Il y avait une maladie qui s'appelait le scorbut, c'était à cause des aliments pas assez frais. Et les hommes avaient très faim, et très soif.

-D'accord ! Merci beaucoup de votre gentillesse. Au revoir !

-Merci à vous et au revoir !

8 février 2017

Lewis et Clark

Lewis et Clark

 

 

 

 

Le 14 mai 1804 : je m'appelle Lewis , je pars d'Angleterre pour me rendre aux Etats- Unis . Je souhaite découvrir ce continent mystérieux. Là-bas, j'essaierai de ramener de l'or et des fruits. J'explorerai la faune et la flore. J'embarque avec 45 hommes sur mon bateau. Je ressens beaucoup de joie et d'excitation à l'idée de ce départ mais aussi du stress et de la peur de ne pas arriver au bout de ce long voyage.

 

 

 

 

 

Jour 40 , la fatigue commence à se faire ressentir, il ne reste guère de provisions. Les marins commencent à être malades. J'essaye de me reposer quelquefois . Je vis dans une petite cabine au confort limité tandis que les marins , eux, dorment à même le sol. Les conditions de vie sur notre embarcation sont dures et parfois cruelles.

 

 

 

 

Jour 60, le 14 juillet 1804 . Nous arrivons enfin sur le sol américain. Il ne me reste plus que 10 hommes et aucune nourriture . Nous décidons d'explorer la forêt qui nous entoure avec sa faune et sa flore méconnues. Nous découvrons un fruit. Il ressemble étrangement à la fraise mais il est beaucoup plus petit. Sa peau est rose pâle et piquante. L'intérieur ressemble à un coeur . Nous le goûtons et constatons qu'il est meilleur que tous les autres fruits que nous avons déjà mangés. Nous continuons à explorer ce continent : nous faisons la connaissance de deux tribunes, les « Yeehats » et les « Azmai ». Ils nous enseignent leurs coutumes et leurs modes de vie. Nous avons beaucoup appris auprès d'eux. Au bout de 30 jours, mes hommes et moi décident de reprendre la mer et repartir en Angleterre afin de faire partager nos découvertes à notre peuple.

 

 

 

 

 

A mon retour, une journaliste m'interwiewe pour que je raconte mon voyage :

 

- «  Comment s'est déroulé votre voyage ?

- La traversée de l'océan a été difficile, nous avons dormi par terre, les marins ont souffert de maladies et la nourriture manque à tout l'équipage.

- Qu'avez- vous découvert ?

-J'ai découvert un nouveau fruit , à la forme d'une fraise, l'intérieur ressemble à un coeur. J'ai également trouvé de l'or.

- Lors de votre traversée, comment a été l'océan ?

- L'océan a été très agité au début du voyage mais il s'est calmé vers la fin.

- Avez-vous rencontré de nouvelles civilisations ?

-Oui, j'ai découvert deux tribus indiennes : les « Yeehats » et les « Azmai ». Ils nous ont donné à manger et logés. Ils nous ont également présenté la faune et la flore de leur territoire.

8 février 2017

Lapérouse

24 octobre 1785

Je me présente : Jean François de Galaup (ou comte de Lapérouse). Je suis scientifique et j'aime particulièrement découvrir de nouvelles espèces. Demain je pars voyager dans le Pacifique et j'espère pouvoir compléter les découvertes des navigateurs français. Louis XVI a eu la gentillesse de me payer ce voyage, en échange je devrais lui ramener des épices, des plantes, des animaux, …

et si possible de l'or, ou d'autre richesse. Je suis conscient que je vais risquer ma vie et celle de mon équipage, j'attends pourtant avec hâte l'heure de mon départ.

 

15 janvier 1786

Encore une journée. Mon équipage et moi souffrons de plus en plus. Avant hier une tempête a emporté deux de mes fidèles compagnons et cela m'a rendu très triste. Je commence à ne plus en pouvoir. Je suis toujours sur ce bateau et je ne peux pas en partir pourtant des fois j'aimerais rentrer chez moi. Plusieurs personnes de mon équipage sont devenues folles, et ont des hallucinations. La faim me ronge et mes petits repas ne l'aide pas à passer. Beaucoup de personnes tombent malades, et même mon fidèle médecin n'arrive pas souvent à les sauver. Moi-même, je n'ai pas toujours la force de bouger. Heureusement que hier, j'ai vu des oiseaux que je crois avoir découverts et j'ai même pu garder un des cadavres, sinon je n'aurais plus la force de me lever chaque matin.

 

12 octobre 1787

Aujourd'hui, j'ai découvert et mangé pour la première fois un fruit nouveau fruit. Sa surface est pleine de piquants comme celle d'un marron. Après avoir enlevé cette fine coque, une boule blanche globuleuse s'est offerte à moi, ce qui m'a fait étrangement penser à un œil. Le goût est divin; contrairement à ma première impression, je trouve que ce fruit est le plus bon que je connaisse et en même temps il est plus bizarre que les statues de l'île de Pâques.

8 février 2017

Cook

James Cook

 

Mon nom est James Cook . Je suis parti de mon île britannique un jour de l'an 1768 avec mon équipage à bord de l' Endeavour de la royale Society . C'est mon deuxième voyage . Le but de cette aventure est de permettre une bonne observation du passage de Vénus dans le disque solaire c est un moment excitant et inquiétant à la fois .

 

21 août 1768

 

Aujourd’hui je pars pour un long voyage , je vais faire le tour du monde , le but de ce voyage est de permettre une bonne observation du passage de Vénus dans le disque solaire .D'ici vingt minutes le bateau partira sous les cris d'au revoir de nos familles . Nous venons de lever l' ancre , je vais aller faire un signe d'au-revoir à ma femme . Ça y est nous venons de partir . L'excitation monte , je suis heureux , fier mais j'ai un petit peu peur, le fait de partir vers des endroits inconnus pour découvrir de nouveaux mondes est inquiétant. Il y a des inconvénients bien sûr : la maladie,le manque de nourriture . Mais bon pour l'instant on part et tout va bien .

 

16 juin 1769

 

Cela fait à peu près un an que nous naviguons , aujourd’hui mon second est mort du scorbut. Après avoir dit une prière nous l'avons jeté à la mer il est la 23 ème personne a être morte sans voir le bout du monde , vais-je mourir moi aussi ? Nous n'avons plus de nourriture , nous avons tous faim , tous les matelots ont mal au dos à force de dormir à même le pont . Quand allons-nous revoir la terre ?

 

29 avril 1770

Après deux ans de navigation et de privations , j'arrive sur les côtes d'une île inconnue peuplée d'aborigènes qui nous accueillent comme des ennemis en nous lançant des bâtons pointus. Plus loin, sur cette même côte, nous découvrons des animaux étranges qui sont aussi grands que nous, et se tiennent sur leurs pattes arrières. Ce sont des kangourous, plus forts et plus puissants que l'Homme.

 

INTERVIEW

-Comment s'est passé votre voyage ?

-Le voyage a été compliqué avec la perte d'une partie de mon équipage, les tempêtes et le manque de vivres.

-Qu'avez-vous découvert ?

-Une île immense, habitée par des peuples aborigènes qui craignaient qu'on envahisse leurs terres. Des animaux étranges et jamais vus ailleurs que sur cette île.

-Avez-vous envie de repartir à la conquête de terres inconnues ?

-Oui et je prépare même mon prochain voyage pour un départ en 1772 pour cartographier cette partie du monde.

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