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En avant les explorateurs
8 février 2017

Pizzaro

1523. Je suis en pleine mer cela fait au moins 3 mois que je navigue . Je suis né en 1475. Je m' appelle Pizzaro et je pars car je veux un empire rien qu'a moi donc, j'ai dû partir et j'ai 48 ans.

 

Il n'y a plus que 45 hommes sur le bateau. Des rats ont dévoré des cordes et il n'en reste plus beaucoup. Le soleil se couche, mes hommes vont dormir par terre sur le bois fin du bateau. Mon second, Gustave, prend ma place. Je commence à dormir quand j'entends un orage. Je dois prévenir tous mes hommes qu'une tempête arrive. Je prends la barre. On doit baisser les voiles. Je dois garder la barre pour qu'on ne dérive pas. Des vagues comme trois maisons s'abattent sur le vaisseau. La tempête cesse. Je me situe sur la carte grâce à l’astrolabe et la boussole pour voir la position du bateau. Le lendemain à midi j'entends crier qu'il y a un continent en vue. Des compagnons sautent de joie. Je prends des armes et je pars explorer de nouvelles terres avec mes compagnons. Trois jours plus tard je vois un fruit. Il me fait peur quand je le regarde. Il a trois trous et son jus est aussi délicieux que le jus de la pomme. Je prends de nouveaux fruits et je repars. Le lendemain j'arrive dans un village peuplé d'indigène nus . On s'échange des objets.Quand je découvre cette richesse je n 'hésite pas à décimer tous les indigène qui s ' appelaient les Incas. Cher journal vous avez lu mes exploits . Je ne vous ai pas encore dit la fin de mon histoire: je vais vous la raconter. Mes hommes sont contents de leurs richesses. Mais je distribue mal les richesses. Je termine mon expédition en 1541. Je crois que je vais avoir un malheur. Je vous quitte , adieu.

 

INTERVIEW

-Alors messire Gustave comment s'est passé votre voyage à bord du bâteau ?

-Le voyage a été très dur. Non seulement à cause des tempêtes et des maladies, mais aussi à cause des combats qu'on a faits contre les Incas.

-Qu'est-ce que les Incas ?

-Pizzaro a nommé comme ça les indigènes.

-Où est donc monsieur Pizzaro, je ne le vois pas ?

-Je l'ai trouvé un matin mort près de son lit, avec un couteau planté dans son crâne, et du sang sortait de sa bouche et ses yeux étaient sortis de leurs orbites. Il avait un journal près de lui avec dedans marqués ses exploits. Inutile de préciser.

-Je comprends. Mais comment s'est passée la route du retour ?

-Le voyage du retour s'est très bien passé. La mer a été calme et il y a eu un seul mort.

-Un seul !

-Oui, un seul.

-Bon, je dois questionner d'autres membres de l'équipage. AU revoir !

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